Titre.
Le diable, New-York et la théorie des Olives
Avancement.
En projet
Environ 1000 pages
Catégorie.
Thèmes abordés : policier / thriller / science-fiction / religion
Parution.
Edition française : à venir
Pacte d’écriture
En réalité dans ce titre, je voudrais développer une sorte d’intuition qui est mienne. J’ai l’impression depuis toujours que l’infiniment petit et l’immensité de l’espace se rejoignent. Je crois par ailleurs que la spiritualité, les religions, les croyances et tous les délires qui entourent la notion de mort, d’au-delà, ont en commun une même base qu’il est possible de creuser, de façon littéraire à tout le moins, afin de les faire se rejoindre.
Cet ouvrage, si je pouvais vraiment m'y atteler comme je le voudrais, serait une synthèse de pas mal d’idées sur le monde qui nous entoure.
Je ne sais plus dans quel conte asiatique j’ai lu que l’épouse d’un homme pauvre, à l’origine un oiseau transformé en femme, s’était mise à tisser en se cachant un tissu merveilleux, lequel faisait son succès mais la détruisait à petit feu : il s’agissait d’une étoffe faite avec ses propres plumes. Et bien j’ai l’impression que ce projet, chronophage s’il en est, si je m’y mettais avec le niveau d’implication qu’il mérite, me prendrait une énergie dont je ne suis pas sûr de disposer. Le type même de projet artistique qui isole définitivement.
De quoi s'agira-t-il ?
À la veille d’une publication scientifique révolutionnaire, le docteur Mattew X se voit proposer par un mystérieux visiteur de différer les choses. Et pour le convaincre de l’existence d’une autre dimension à l’univers tel qu’il le connaît, il lui propose de faire des « voyages ».
Il s’ensuit, et aussi incroyable que cela lui paraisse, que le scientifique se retrouve plongé dans le New York du début du siècle, coincé entre une vie qui le tente, et la curiosité de zapper ce premier « voyage » pour passer à 1001 autres.
Il demande à visiter l’habitation humaine la plus oubliée encore en état. Il souhaite monter à bord des vaisseaux interplanétaires tels que la science-fiction nous les prédits pour les siècles à venir. Et puis un jour il se demande si tout ceci n’est pas une suite de pièges tendus avec l’espoir qu’il ne veuille plus revenir à son actualité. De surcroit, il semble que son visiteur, « le diable » donc, a des sortes d’ennemis qui se lancent aux trousses du docteur Mattew XX – le diable n’a pas tous les pouvoirs, tiens tiens…